Chapitre 9: Execution

C'etait un apres midi froid et sombre dans la foret de Fontainebleau, les 2 wesh avaient un sac sur la tête, ils tentaient de se débatre à l'arrière de la fourgonette.

Mon père et moi tentions de les maitriser, mais on entendais leurs cris affolés malgré les baillon, mon père en eut marre et sortit son desert eagle.

-Bon, maintenant ça suffit bande de gros cons! Vous bougez une oreille et je vous le fout dans le cul et je vide ce putain de chargeur!

Ils se calmèrent comme par magie.

Nous arrivâmes au fin fond de la forêt, Aldo s'arretat puis se retournat vers les 2 kikoowesh qui pleuraient à chaudes larmes:
-Je supose que c'est ici que ces messieurs descendent. Puis son visage laissat apparaitre un rictus sournois.

Il descendit puis nous ouvrit le fourgon, nous sortîmes puis enlevèrent les sacs de la tête des deux gus, puis Aldo et mon Père sortirent des pelles du véhicule et commencèrent à creuser pendant que je braquais nos 2 victimes qui étaient à genous, les mains liées. L'un des 2 me demandat:

-Pourquoi tu fais ça?
-On se connait pour que tu me tutoies?
-Toi tu le fait bien répliquat l'autre
Je sifflotai
-Sss sss, on se calme sinon vous creverez à poil entérés vivants.
-Oui, d'accord monsieur




-Bon, c'est fini, on peut finir le boulot. Dit mon père
-C'est la partie que je prefere : Ou peut être quand je leurs fait de jolis petits sourires...Puis il sortit un crand d'arrêt de sa poche.

Nous mirent les 2 jeunes hommes devant un grand trou. Ils se mirent à fondre en larmes.
-NAAAAN pitié, nous tuez pas
-BOUHOUHOU j'veux pas mourrir
-Si vous voulez vivre, vous allez dire aux gugusses qui vous payent d'arreter de faire chier nos amis, sinon y'aurat maldonne. Dit mon père
-Oui, on leur dirat promis

L'un d'eux se sentis pousser des ailes
-Nan, allez vous faire foutre! Tuez moi si vous voulez
-Si tu veux. Répliquat Aldo
Il braquat son Python sur Kevin puis sans haucune hésitation lui tira une balle dans la crâne, du sang giclat sur nous, le corp tombat lourdement dans sa tombe, il avait un trou béant de 357 dans le crane et un autre dans l'oeil, la balle avait travérsé la tête, de la chair, du sang, et même ce qui ressemblait à des bouts de cervelle coulaient sur son visage et par terre, Mickael, qui pussait des hurlements de terreur, était couvert de sang et de lambeaux de peau.
-Ton pote a voulu mourrir en héros, mais il avait poussé le bouchon trop loin, ne prenez pas trop la confiance, on peut faire tres mal. Dit mon père à l'oreille de ce dernier
-Oui monsieur, je vais dire aux Feloni de ne plus toucher à vos commerces, mais me tuez pas

Puis mon père le libéra, et il couru du plus vite qu'il pouvait, je vis que son pantalon était mouillé au niveau de l'entrejambe

-Et maintenant? Dis-je
-Et maintnant? Dit mon père, mainenant on rentre à la maison, ta mere a fait des lasagnes